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Exemple : Où en sommes-nous de la réforme des retraites ?

Rubrique ESG : The day tout de suite after …

16 Sep. 2022 4 min de lecture
  • C’est dès le lendemain de l’élection, le 4 novembre, que D. Trump actera la sortie des Etats-Unis des accords de Paris pourtant obtenus de haute lutte. S’il est élu, Joe Biden, lui, a la volonté de créer un plan d’investissements de 2000 Mds USD dans les infrastructures et les énergies vertes, sans que l’on sache encore clairement comment il envisage de financer ce projet, ni comment il s’accommodera de l’industrie pétrolière américaine qui a rendu le pays totalement indépendant des importations d’or noir depuis 2014.

 

  • D’ici les élections américaines, l’Allemagne aura émis en septembre sa première obligation verte à 10 ans, sans doute pour 4 Mds EUR avec la volonté affichée de devenir « l’émetteur de référence des Green Bonds, sur toutes les maturités ».

 

  • Et l’ensemble de l’Europe s’est donné l’objectif d’une économie neutre en carbone d’ici à 2050 en s’engageant pour une économie circulaire, efficiente, inclusive et propre, la « CLIC » économie « circular, lean, inclusive, clean ».

 

  • Le plan de relance budgétaire sur lequel se sont mis d’accord les Européens, à l’initiative d’A. Merkel et E. Macron engage 1 100 Mds EUR dont 30% doivent être utilisés pour la lutte contre le réchauffement climatique. Plus difficile à mettre en œuvre et surtout à évaluer, l’Europe voudrait établir une taxe carbone sur les importations, afin d’empêcher que nos produits locaux «ne subissent la concurrence déloyale, un « dumping CO² » de biens et marchandises moins chers en provenance de pays peu regardants sur les émissions carbone.
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