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Rubrique ESG : Tout le monde s’y met ! On n’a pas le choix

13 Jan. 2021 5 min de lecture

A peine sortis des accords de Paris sous la présidence Trump, les États-Unis les rejoignent sous la présidence Biden, ce qui remet la plus grande économie du monde au cœur des efforts internationaux visant à limiter le réchauffement climatique.

Et avant même la mise en œuvre des projets gouvernementaux, le financement des projets privés par des « Green Bonds » se développe considérablement. La sphère publique avait abandonné le sujet aux États-Unis, la sphère privée, consciente des enjeux et des risques à long terme s’en est emparée.

Les acteurs de la finance ne passent d’ailleurs pas à coté de cette opportunité. Dès la fin novembre, JPMorgan a lancé son premier indice “Green Bond” pour répondre à la demande croissante des investisseurs. L’indice couvre à ce jour un peu plus de 400 Milliards USD d’emprunts d’États et privés.

Simultanément, le violent choc social provoqué par l’arrêt des économies en 2020 a stimulé les actions concertées pour financer le support à l’économie et aux secteurs sinistrés, par exemple par des aides au chômage partiel. Les émissions de social bonds pour financer ce besoin soudain se sont accélérées.

Voilà de quoi faire un bon sujet de mémoire d’actuariat pour étudiant courageux : « Proposer une méthodologie d’actualisation du passif sociétal et environnemental d’un gouvernement, ou d’une entreprise, d’un salarié ou d’un citoyen ».

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